vote concours de récit juin 2006

« Mes frères, les humains sont presque défait, je le constate. Mais je tiens à connaître les nouvelles. »

L’éthéré Kaun’li parlait avec autorité, d’une voix céleste qui obligeait à écouter. L’assemblée était fascinée par son chef spirituel et lui-même savait qu’il ne posséderait plus jamais un tel pouvoir après la fin de la campagne.

Un solide guerrier encore engoncé dans une épaisse armure se leva puis s’approcha de son maître.

« Commandeur O’brigan à vos ordres grand éthéré. Nos hommes ont enfoncé les dernières défenses de l’imperium sur cette planète et nos armées de réserves attendent votre ordre pour nettoyer définitivement la zone et terminer le travail. »

Kaun’li acquiesça silencieusement puis fit volte-face pour sortir de la salle, sa longue robe traînant sur le sol brillant, suivit immédiatement par ses gardes du corps, trois imposants guerriers de feu. Ils marchèrent ensemble vers les appartements de l’éthéré puis, lorsque ils arrivèrent enfin aux portes de ceux-ci, les trois guerriers s’arrêtèrent pour laisser liberté de mouvement à leur chef. Celui-ci entra calmement, soulagé d’avoir fini ces interminables discours. Il alla s’étendre un moment sur un grand lit de soie, essayant de se reposer après les événements qui s’étaient produits.

« Ki’bron, un rafraîchissement je te prie… » Demanda-t-il d’une voix douce à son homme de confiance qui devait se trouver dans la salle d’à coté. Aucune réponse pourtant ne se fit pourtant entendre. « Ki’bron je t’en prie, j’ai le gosier en feu… » Demanda-t-il une nouvelle fois avec un ton ironiquement suppliant. Aucune réponse. Tout en répétant sévèrement sa demande une troisième fois, il se leva pour marcher jusqu’à l’autre pièce. Ki’bron était bien là, toujours assis près de la fenêtre qui donnait sur la jungle. L’éthéré ne le voyait que de dos et pourtant il devina que quelque chose n’allait pas. Il s’approcha doucement en murmurant avec inquiétude le nom de son acolyte puis lui mis la main sur l’épaule. Son corps s’ébranla soudainement puis il s’effondra de sa chaise, laissant sa tête rouler de ses épaules. Un long filet de sang s’échappa du cou sectionné et commença à souiller le sol brillant.

« À l’aide !!!! » hurla Kaun’li en sortant terrifié de sa chambre. Il poussa la porte qui donnait sur l’extérieur pour rejoindre ses gardes du corps. Pourtant, il ne trouva que le spectacle écoeurant de trois guerriers de fau éventré, leurs tripes s’étendant mollement, certains de leurs membres sectionnés. L’éthéré voulait hurler, mais aucun son ne daignait sortir de sa bouche. C’était un cauchemar. Un terrible cauchemar et il allait se réveiller dans l’instant pour s’en amuser ensuite. Mais il ne se réveillait pas. Une escouade de guerriers de feu apparut à l’autre bout de la grande rue. Ils coururent vers leur chef et semblaient déjà au courant des incidents.

« Grand seigneur, veuillez nous suivre je vous prie. Vous n’êtes pas en sécurité ici ! »
Dit le chef d’escouade rapidement. Deux tau entourèrent Kaun’li et le prirent pas le bras pour l’aider à avancer, celui-ci paraissant défaillir. Ils longèrent plusieurs bâtiments avant d’entrer dans le QG général, là où les attendait une nouvelle escouade tau, accompagné de deux exo armures crisis. Les guerriers qui accompagnaient Kaun’li le confièrent à ces derniers puis firent volte-face pour aller sceller l’entrer. Avant d’entrer dans la cage d’escaliers, l’éthéré pu entendre un des guerriers de feu crier dans son émetteur radio : « Alerte, intrus dans la base ! »

Ils passèrent une nouvelle salle où les attendaient le commandeur O’brigan.

« Mon seigneur, des individus se sont introduits au coeur de la base et ont déjà massacré plusieurs membre de notre état-major. » informa le commandeur d’un air inquiet.

« On sait de qui il s’agit ? »

« Ils sont sûrement plusieurs, un seul individus ne frapperaient pas aussi rapidement. Nous avons d’abord pensé à des xenomorphes tyranides mais nos scanners n’indiquent aucune source de phéromones dans le secteur. »

L’émetteur d’O’brigan commença à vibrer puis une voix forte en sortit :

« Les responsables de la caste de l’eau ont disparus, ils ne sont plus dans leurs appartements!!! »

« Grand éthéré, enfermez vous dans la chambre du parlement et restez-y, on vous couvre. » ordonna l’officier.

Kaun’li acquiesça rapidement et fonça vers la grande porte blindée. Il la scella brièvement puis partit s’abriter derrière une table. De forts bruits s’entendait derrière la porte et tout le monde était sur le point d’exploser tant la tension était forte.


« Commandeur, l’escouade 59 ne donne plus signe de vie et je n’arrive pas à contacter les responsables du service de sécurité du bâtiment. Les portes d’entrées sont déverrouillées ! » Informa un des chefs d’escouades.

« Plus de nouvelles non plus des trois unités stealth appelés en renforts. » reprit un deuxième.

Mais tout s’immobilisèrent lorsque un lourd bruit de ferraille puis un terrifiant cri d’agonie résonna dans le couloir est. Le silence retomba et les guerriers de feu pointèrent en direction du couloir. Mais leur terreur atteint son paroxysme lorsque un nouveau cri de détresse se fit entendre dans l’autre couloir, derrière eux…


Kaun’li n’entendait plus rien depuis sa sombre salle, un silence de plomb s’était installé et rien ne semblait vouloir le briser. Il tremblait de terreur sous ces bruits absents, apeurés par le manque d’indice sur une quelconque sécurisation du secteur. Soudain, un faible sifflement se fit entendre, puis un autre. Puis plusieurs cris de souffrance et d’agonie. Les sifflements caractéristiques aux tirs de fusils à impulsions cessèrent et le silence retomba. Mais pas totalement cependant car l’éthéré percevait un faible tapotement sur la porte blindée. Un bruit régulier, monotone et si terrifiant par sa simplicité. La peur avait atteint son paroxysme dans l’esprit du vieux tau, il se sentait plus que jamais défaillir. L’explosion titanesque de la porte blindée après la fin des tapotements acheva de le terrifier. Une sombre silhouette se tenait debout sur le seuil d’entrée. La fumée se dissipant, on pu percevoir les fins traits de l’individu, qui sous sa combinaison noire, affirmait une musculature impressionnante. Des dizaines d’armes blanches pendant à sa ceinture et son visage était masqué par la mort, un crâne d’acier reluisant qui laissait apparaître deux yeux rouges de fureur. Sa main agrippait fermement la tête du commandeur O’brigan tandis que l’autre tenait un long coutelas rougi par la sang de dizaines de tau. Un terrifiant rire s’éleva de la gorge de l’assasin Eversor lorsqu’il bondit vers l’étheré, sa nouvelle proie…

-ils sont là, 1, 2, 3, 4, 5 et 6 en comptant celui qu’on a amoché tout à l’heure.
-bien, à mon signal, jaune et rouge avancent sur ma gauche. Bleu, tu passes par la droite, je vous couvre.
Les catachans étaient allongés dans les hautes herbes ; ils suivaient le petit groupe depuis une heure à présent, à travers la jungle épaisse et la brousse caractéristique de la région. Tandis que jaune et rouge progressaient sur le flanc gauche, aucun signe ne parvenait bleu…
-bleu, qu’est ce que tu fous ?!?
Aucune réponse.
-putain c’est pas le moment qu’il nous fasse une attaque !bleu répond maintenant !
-noi…-bleu au rapport ! Excusez-moi sergent, ma radio était tombée…
-pas le moment de t’excuser, fonce sur la droite, jaune et rouge ne vont pas tarder à arriver sur les hérétiques…
Armant son fusil, le sergent grommelait dans sa barbe : 24 heures de filature et il trouvait le moyen de retarder le groupe au moment critique.
-t’en foutrait, moi, des « sergents »...
Par habitude, il ramena un peu de terre devant son front. Rôdé par des années de combat de jungle, puis de tranchées, ce genre de gestes insignifiants était de ceux qui pouvaient vous sauver la vie...
-ici jaune : ait contourner la position des renégats, prêt à intervenir.
-ici rouge, sur leur flanc, prêt à faire feu.
-ici bleu, sur l’autre flanc, prêt à agir.
-bien, quand je vous le dirai, foncez sur eux en criant : il nous en faut un vivant !
Ca ne marchera pas, lui dit une voix intérieure : ils sont top nombreux pour tes hommes...
Pendant un bref instant, le sergent Tibus hésita, puis maudissant sa bêtise se ramassa et se mit à courir vers le campement ennemi :
-chargez !!!!!
Les cris de ses hommes résonnèrent dans la clairière, immédiatement suivi du bruit des fusils ennemis.
-c’est un piège ! Retraite !
Il était trop tard : emporté dans son élan, le sergent déboula prêt d’une tente, avant de s’écroulé, touché au visage devant bleu qui approchait.
-ne bougez plus sergent, l’hémorragie va empirer...
Tibus répondit dans un sanglot, ses yeux touchés reverraient-ils jamais sa planète ?
-mais jaune et rouge, ils ont dit que c’était un piège...où sont-ils ?
-jaune et rouge sont mort sergent, tout comme vous.
La dernière chose que se demanda Tibus avant que sa tête n’explose fut la dernière fois que ses hommes l’avaient appelés sergent...

bo pardonnez moi pour la longueur du texte (svp... ) : c est pour dire de participer malgré les révisions du bac...

Quelque par sur une lointaine planète gelée de l’Imperium, la garde impériale se trouvent confronté a une Waaagh ork imposante, mais elle a avec elle le soutien de l’un des meilleur escadrons de l’Imperial Navy du secteur: Les Renards d’argent.
Aujourd’hui, une banale mission de destruction de pont.



A 400 mètre, je me redresse, juste à temps pour voir ma bombe tomber dans l’eau, à droite du pont. Je n’en suis pas étonné ; je sais que c’est l’effet du vent qui l’a déportée.

-Attention...Bleu 1 au reste de l’escadrille, le vent vient de la gauche... visez plus à gauche !

La bombe de mon troisième appareil frappe de plein fouet le pilier centrale du pont qui s’effondre complètement, entrainement le tablier. En ce qui concerne le pont, notre tâche est terminée. Nous grimpons, survolons les abords du chanel et, ayant découvert l’emplacement des batteries de D.C.A, piquons de nouveau sur les canons, heureusement que les orks sont de piétèrent viseurs et tireurs.

-Qu’est-ce qu’ils dégustent aujourd’hui ! Jubile Bleu 2

Bon, il est temps de rentrée a la base, inutile de risqué les hommes et le matériels. Quelques minutes seulement plus tard, nous arrivons au dessus de notre base, je réduis les moteurs, je baisse les volets, sort le train d’atterrissage. Un bruit sourd et c’est bon, les 14 tonnes de mon chasseur-bombardier
Thunderbolt se pose sans problèmes sur notre piste, suivent un a un le reste de mon escadrille. Quand tout le monde est au sol nous nous dirigeons vers la salle de débriefings pour discuter de la mission tandis que les mécanos réarment nos appareils.
Après le débriefing, nous nous retrouvons dans le mess des officiers pour nous reposer un peux, malheureusement la guerre fini toujours par nous rattrapés.

-Scramble, Scramble ! Crie un sous-off’ par une fenêtre.

En moins d’une minute, Bleu 2 et moi même sommes installés, attachés, oxygène réglé, moteurs démarrés, tandis que les mécanos vissent sur nous nos cockpits de nos cabines étanche. Trois fusées blanches partent du contrôle nous annonçant que la piste est libre.
A 12h23’ 35’’ exactement, plein gaz, nous décollons et déjà le contrôleur nous donne par radio ses premières instructions :

-Allô! Ici contrôle, un bombardier ennemi s’approche de B a l’altitude Z. Prenez de l’altitude plein gaze sur un cap zéro, neuf, cinq. C’est tout.

Je fouille dans ma botte pour y repêcher la table de code qui a glissé entre mes cartes. Je m’énerve et quand je la retrouve, je dois demander à « Contrôle » de répéter.
Bien, un ork s’approche du post de commandement, à l’altitude Z -je consulte la carte- Bigre ! Z signifie 40 000 pieds, c’est-à-dire plus de 13 000 mètre d’altitude.
Je prends mon cap, grimpant toujours à pleine admission.
Je vois le Thunderbolt de Bleu 2 qui se balance à quelques mètre et de devine ses yeux fixés sur moi qui rient sous sa visière anti-soleil.
C’est une splendide journée d’hiver, pas l’ombre d’un nuage dans le ciel, et le soleil arctique poignarde les yeux. Je mets le chauffage en marche et règle la pression dans la cabine étanche.

- Allô ! Bleu 1, ici contrôle, l’avion ennemi est maintenant au-dessus de B. Dépêchez vous !

- Ici Bleu 1, je grimpe à toute vitesse sur le cap 095°, je suis déjà a l’altitude R !

Qu’est ce que ce contrôle croit que nous somme ? Des Lightnings ? En 1 minute nous voici à 7000 mètres : ce n’est pas si mal.
Pendant ce temps, je réfléchis : cet ork doit être un appareil de reconnaissance. Avec un temps comme celui-ci, il doit pouvoir prendre des photos parfaites. Les Hydras du QG ne peuvent pas tirer à cause de nous évidemment, et les gars en bas doivent pester. Il faut à tout prix que l’on accroche cet avion. Si nous n’avons pas sa peau, les amiraux auront la nôtre en retour...
Nous dépassons un immense lac gelé et continuons sur cap 095.
Ca, c’est sûrement notre animal. Je jette un coup d’œil en arrière et je vois la traîner blanche qui décrit un large cercle sur le post de commandement, environ 3 000 mètre au dessus de nous.
Je me demande quel type d’appareil ce peut bien être, surement un chassa-bomba modifié pour cette opération, en tout cas il n’a pas l’air de s’en faire et prend ses photos tranquillement...

-Allo ! Ici Bleu 2 à Bleu 1. Trainée de condensation à 6h au-dessus !

Nous voici maintenant à 10 000 mètres, entre l’ork et la terre ferme
Si nous pouvons grimper encore 2000 mètres sans être vus, nous lui coupons la retraite.
J’ouvre les gaz à bloc, enclenche la post-combustion, suivi facilement par Bleu2. L’ork, toujours sans s’inquiéter, se croyant invulnérable à cette altitude, commence un second tour. La D.C.A de la base s’en mêle, mais les flocons noirs sont nettement au-dessous de la traîner blanche...
13 000 mètres ! La condensation des gaz d’échappements de nos moteurs laisse désormais une épaisse trainée blanche persistante qui s’étire et s’épanouit derrière nos avions comme le sillage d’un navire.

Nous avons le soleil dans le dos.
L’ork se dirige maintenant vers nous, soit il nous a aperçus et il cherche à nous dépasser avant que nous soyons en condition de l’intercepter, soit il a tout simplement terminé sa mission.
Bleu 2 s’est placé parallèlement à 800 mètres de moi, et nous avons gagné 700 mètres, ce qui nous amène à 400 mètres environ au-dessus de l’altitude de notre gibier, qui est a 3 km de nous et se rapproche rapidement.
Cet ork décidément doit être aveugle.

- Tayllo Bleu 2, prêt pour l’attaque !
- OK

Il nous a vus mais trop tard, nous le prenons en ciseaux.
A notre surprise c’est un simple chasseur ork équipé de deux gros réservoirs supplémentaire sous les ailes. Il est peint dans un rouge vif avec en guise de décoration et une énorme gueule de requin, et crache, en plus de la condensation, une épaisse fumée noir.
Il tourne d’abord à gauche. Mais Bleu 2 est la qui vire vers lui. Il reverse son virage, m’aperçoit et, soudain, d’un mouvement continu assez disgracieux penche un peu plus et roule sur le dos, piquant à la verticale dans l’espoir de nous semer.
Sans hésiter, nous le suivons.
Il pique tout droit vers le sol. Il est à 800 mètres devant nous, avec ses réservoirs toujours accroché sous les ailes.
La vitesse augmente de façon vertigineuse, mon altimètre s’affole. A ces altitudes, il faut être prudent, car on atteint vite la vitesse de Mach 2 et alors...on risque fort de se retrouvé accroché a notre parachute anti-grave en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire.
L’ork se sert au maximum de son moteur « kustom » et continue à garder son avance, pour une fois qu’une de leur machine marche.

4 500 mètres, Bleu 2 me dépasse...
3 000 mètres, Bleu 2 a 200 mètre d’avance sur moi et se trouve à 600 mètre de l’ork.
Il ouvre le feu de ses 4 auto-canons, sa rafale passe à moins de 5 mètres de l’ork qui commence à paniquer, soudain il entame un looping pour tenter de nous échappé mais ca ne prend pas avec nous qui le suivons dans son mouvement. Grâce à mon expérience du combat je le vois venir et réussis à me placer pile dans ses 6h, mon réticule de visée passe au vert, une rapide prière au dieu de la machine, et j’écrase le bouton de tire. Rien de se passe, canons enrailler! J’en rage ! Et pas question d’utiliser les canons laser, a cette vitesse et a cette distance cela pulvériserait l’ork mais nous avec. J’informe Bleu 2 de mon problème et lui laisse la voie libre, je me mets juste en retrait.
L’ork tente une boucle inverser, mais une fois de plus ca ne prend pas, nous ne lâchons pas d’une semelle, il ne cesse de zigzaguer pour nous échapper, d’ou d’un coup l’ork apparait dans le centre du viseur de Bleu 2.
Maintenant ! Les 4 auto-canons crachent leurs munitions à une cadences soutenu, les douilles pleuvent sous le ventre du chasseur, les obus encercle l’appareil primitif.
La rafale de Bleu 2 dure 5 longues secondes mais tout d’un coup l’ork se déchire comme du papier, éclate comme une grenade. Une aile vole d’un côté, le moteur et la moitié de fuselage continuent à tomber comme une pierre, tandis que les empennages et les débris voltigent de tous les côtés.
Un des réservoirs descend en spirale laissant derrière lui une traînée de vapeur d’essence enflammée...
On redresse en tirant doucement le manche vers nous, on stabilise l’appareil après cette vertigineuse poursuite, vérification de tout les systèmes de vol, tout les voyants sont vert sauf celui concernant mes auto-canons, les mécanos de la base vont m’entendre !

-Bien joué Bleu 2! Belle victoire, lui dis-je, via la radio.

Bleu 2 me répond en faisant un magnifique tonneau de victoire.

-Mission terminé, on retourne à la base et je t’offre une tournée.



Une journée comme une autre pour les Renards d’Argent...

vala:

Archive de Macragge, numerotation:184-85b-df. classé secret d'Empire.écrit pas le sergent Maximus, de la deuxième compagnie des Ultramarines. mort en aout, sous les assauts Tyranides.
2 juillet:
Cela fait une semaine que la flotte ruche entoure la planete de Macragge. la végétation a commencer a muter, les arbres ont atteint une taille exceptionelle, les buissons a devenir capable de tuer un homme.

3 juillet:
Un premier bio-vaisseaux a atterit, a 6km de notre base. nous envoyons trente hommes pour tenté de purifier les premiers monstres. l'escouade et équiper de trois lance-flamme, trois bolter lourd et trois lance-missiles. une heure plus tard nous recevont un appel radio:
-sergent, nous avont eliminé une centaine de tyranides, des gaunt épines, des hormagaunt et des rodeurs. les plus gros sont a venir.
-bien faite nous un rapport quand il y aura du nouveau.
une demi-heure plus tard:
-sergent, nous avont perdu cinq frères, dont un avec lance-flamme. le frère Aurelius a accompli un acte de bravoure, un lictor nous a pris par surprise, et il s'est sacrifié pour l'abattre.
-salauperie de xénos! rien d'autre?
-si, nous approchont du bio-vaisseau, il n'avait apporter que très peu de xénos. nous les avont pratiquement tous éliminez. les derniez rodent autour du vaisseau.
-bien, vous allez tuez les dernier, et detruiser le vaisseau.
-reçu, nous y allons.
les marines s'approchèrent du vaisseau, et ils remarquèrent qu'il ne restait plus qu'une douzaine de tyranides.
-qu faisons nous sergent ?
-on ne peut pas y aller de front, c'est trop dangereux le vaisseau previendrait le reste de la flotte. attirez les ici.
-bien, Alfred, ramene nous les toutous.
Alfred sortit une grenade a fragmentation, et couru vers le coté. les quelque gaunt le prirent en chasse. il s'areta de courir et les regarda, puis en criant: "crevez xenos sous la colère de l'Empereur !" il leur jeta la grenade qui tua trois des gaunts dans une gerbe de sang. puis il ouvrit le feu de son bolter. les autres marines ouvrirent a leur tour le feu, et le capitaine hurla:
-pour l'Empereur!
-pour l'Empereur! reprirent les autres. les xénos furent eliminé.
Chekcler, Carlgus, Jo, Friyng, chargez vos lance-missiles, avec des missiles anti-char, et détruiser moi se vaisseau. les quatre valeureux Ultramarines firent exploser le vaisseaux.
-sergent, cible éliminé.
-recu, reste-t-il des xénos sur le sol de Macragge?
-négatif sergent.
-bien revenez.
Trois heures plus tard l'escouade n'était toujours pas revenu, on appris que bien plus tard qu'un deuxième vaisseau était present, ils furent simplement exterminé par les xenos.

4 juillet:
Les Tyranides ont commencer l'assaut tous les vaisseaux ont atterit sur le sol de Macragge. les avant poste sont tous tombés ou imposible à contacter. la comunication avec les forces hors de Macragge est toujours impossible. nous pensont qu'il ne reste que quatre avant poste et la forteresse sur pied.

5 juillet:
Les milles marines, cent terminators, deux-cent chars, cent dreadnoughts et cent-soixante land-speeder composant la deuxième compagnie ultramarines défendant Macragge, sont les seuls humains encore present sur cette planète. les tyranides ont entourer le fort, mais nous arrivont a les tenir en respect, mais jusqu'a quand? Seul l'Empereur le sais.

6 juillet:
Les Tyranides ont tenté d'envahir la place fortifié, d'avant garde du fort.
a peut près un huitieme de la horde c'est ruer vers la place forte. les deux cents marines aloué à sa defense ont combattu vaillament, mais la plupart sont mort, ils ont du moin reussi a gardez la place en notre possessions malgrès quelle soit fortement endomagé. le frère Larie Dunk, est mort au combat, mais a accomplis un acte exceptionel. il a tuez a lui seul un carnifex. selon les témoins, il aurait sauver toute son escouade, voici les paroles rapporté par un de ces compagnons:
-"en fait on était en train de tirer, a la puissance maximun sur les Tyranides, des Genesleater pour la pluparts, tout a coup un Carnifex, un monstre deux fois un dread, a commencé a nous chargez! on a tirez, mais rien n'y faisait, il encaisez tous. alors Larie a dit: " je ne le laiserait pas vous bouffez les gas! Un vrai marines celui la, il a preferé mourir pour nous et l'Empereur que de vivre. et donc il a foncé vers le carnifex, il a sauter sur le coté, le Carnifex, il n'a rien remarqué il a continuer sa charge, et Larie lui a sautez dessus, il a commencez a l'escalader, et une fois devant sa guele, il a jeté sa grenade dedans, mais il est mort sur le coup." après cette assaut nous avont regroupez nos force réstante et établit des plan de protection, même si la bataille et surement perdu d'avance. nous véront demain. Que l'Empereur veille sur nous.
7 juillet:
Nous continuons de tirez au bolter lourd sur les Tyranides s'approchant trop près, mais l'assaut n'a toujours pas été lancer.

8 jullet:
Ce matin les Tyranides on lancer l'assaut, pour de bon cette fois. la place fortifié fut prise, la horde continu d'affluer, mais nos position sont maintenu, nous ne les cederont pas! Par les armes nous mourront et par le courage nous rejoindront l'empereur! Nous avons installer une dizaine de lance missile sur la place de combat.

Deux heure plus tard:
Cela doit faire deux heure qu'il en viennent, de partout. a quatre heure les gargouille sont arriver, une horreur!
"c'etait vers quatre heure, on etait en train de tirer, et la on a vut que l'assaut se fesait plus persistant, enfin il voulait nous attirez, et on a compris qu'il se tramait quelque chose. tout d'un coup il y a Matt, il c'est mit a gueler, je me suis retourner, et il avait plein de sale bete qui lui monter dessus, elle le bouffer vivant! je leur et dit au autres." chargez moi ces infames xénos !" les terminators d'assaut jusque la inutile, ont foncer dans le tas. je vous dit pas le massacre! La le sergent des terminators nous a dit:
-bon les armes lourdes en troisième rang, feu nourri sur l'enemi. les bolters, feu nourri au deuxième rang. vous autres mes frère vénérable et les unité avec armes de corp a corp, au premier rang, ont tir a fond, et quand il arrivent a passer le deluge de feu, c'est a nous de jouer. les hommes prirent les positions demander. un Téchmarine alla voir le sergent, et lui glissa une parole a l'oreille, celui si nous dit: " les char et dreadnought, en ligne de fond, feu nourri!" nous suivont les ordres a la lettre, le bruit des armes était immense, un simple humain n'aurait pas tenu le coup. cela dura très longtemps, plusieur heure voir jour, a repouser les assauts par le feu."

10 juillet:
Deux jour que l'ont tien, mais il se rapprochent un peu plus a chaque fois, nous avont essuyer quelque perte dues au gargouilles. le pire et a venir. comme depuis deux jour, on tir sans relache sur l'ennemi, mais bientot, il approchera les rempart et la...
-j'en est marre!!!!! hurla un marine. desespérant, meme les marines pouvait craquer, le sergent s'approcha de lui et lui dit:
-courage frère ! ces simples mots valait mille fois plus prononcé par un terminator. le frère reprit ses tirs. et le sergent dit a un autre terminator: " il n'y en a plus pour longtemp." en effet, très peu de temp après les tyranides arriverent enfin au rempart, les batterie lourde ne suffisait plus a les reppouser.
- a l'assaut!!! hurla le sergent. les terminators et escouade d'assaut avec moi!
Ils partirent a l'assaut dans une charge désesperé, a cent contre un, couvert par le feu de leur frères. les marteaux tonere et épée tronsoneuse, fesait des raveages dans la masse grouillante des tyranides. on entendait quelque fois des "pour l'Empereur!". les tirs combiner à la force brute avait bloquer l'assaut tyranides, pour l'instant. et la moitié des effectif envoyer a la charge ne revint pas. seul les terminators avait essuyer peu de pertes, les escadrons aeéroporté, était, pratiquement tous morts. mais les tyranides avait renoncer, jusqu'a quand? Prions l'Empereur pour notre salut.
11 juillet:
pas d'offensive serieuse, on a vu un regroupement important
de xenos vers l'est, la ou on a le moin de defense.

12 juillet:
sa y est l'assaut final a commencer. les tyranides arrivent
par millier, il ne reste plus beaucoup d'effectif, la mort
est inevitable, je ne sait comment sa finira, mais nous
mourront avec, HONNEUR. il est 10h c'est l'assaut final,
combien de temp tiendront nous?
-sergent les premiers gaunt sont la, plus il sont loin
plus ils sont gros donc...
-plus nous combatron plus nous auront des gros a battre.
-excactement.
-feu!cria le sergent, une illumination due au laser et bolters qui s'activerent, puis une esplosion fracasante dans la masse tyranide. des milliers etait mort sur le coup, d'autre trainait par terre, des menbres arracher, trainait plus loin.
-on y va! dit resolument le sergent terminator, tout ce qui etait capable de se battre avec des tyranides attaqua la horde.
-pour l'empereur! la charge fut une vision d'horreur imaginer vous, des millers de tyranides facilement cinq mille et nous a quatre cent couvert par quelque tir chargions tete baissé vers eux! les terminators arriverent les premiers et firent des ravage a coup de marteaux tonere et de lande flamme, il se frayaient un chemin au hasard, lorsque qu'un marine cria:
-a gauche! a gauche!
les temrinators tournerent la tete, et il virent deux carnifex, il etait dix a l'avoir remarquer les autre continuait leur travail.
-on y va. il se frayerent un chemin a coup de lance flamme et de marteaux. il arriverent sur la bête. les cinq valereux veterant fraperent le monstre de leur attaque furieuse, le carnifex attrapa le sergent, qui ne perdit pas son sang froid, et une fois au niveau de sa bouche il enfonca sont bouclier dans la machoire du carnifex, qui l'enfournit dans sa bouche, le sergent continua son travail. il s'accrocha a son bouclier, et frappa de son marteau partout dans la bouche et vers le haut il vit un endroit moin epait, il enchaina les coup et lui fraquasa le crane. le carnifex tomba a terre tuant le sergent avec lui.
-salopard de xenos! dit un terminator mais il continuerent. pour l'autre se fut quatre marines dont un portant un lance roquette. les autre tenterent de blesser la bête, mais en vain. il furent tous tuez par le monstre, seul le lance missile etait encore la, il fit feu, la bete s'aretta d'avancer, il refit feu, la bete fit un pas, il refit encore feu, et elle tomba a terre. puis un prince arriva vers les terminator, la mere ruche lui avait surement ordoner de tuez l'elite de cette armez, trop dangereuse. trois explosion se produire sur sa carapace mais aucun dommage apparant, les terminator se frayerent un chemin au lance flamme dans la masse, une fois arriver sur la bete, il tenterent tous pour le tuez mais rien n'y fit, il furent tous tuez un par un.
-ce monstre et inaretable! dit nerveusement un capitaine. beaucoup d'autre grosse bete arrivait, plus question de gaunt.
-on se replie! tous vers la forteresse! l'armé en deroute recula vers le fort, lachanr au prix cher leur positions.

13 juillet:
durant toute la nuit les tyranides tentirent de rentrer mais nous tenons.

30 juillet:
cela fait depuis le gros assaut que sa dure, nous ne somme plus que deux centaine tous au plus. les assaut sont incessant. nosu ne tiendront plus longtemp, maccrage vit ces derniere heure!

2 oaut:
plus de resistance possible, la horde a envahit la place forte, et la porte du fort va lacher.

3 ouat:
les tyranides sont entrer dans le fort. je suis enfermer dans une piece, je suis le dernier survivant de maccrage.
-sa ne se passera pas comme sa!
il sortit de la piece et vit des guerier tyranides, il fit feu dessus de son bolter, puis quatre autre guerier apparurent, l'un deux fit feu de son ecorcheur, le sergent tomba, mort. le dernier defenseur de maccrage etait tombé, maccrage etait tombé. les ultramarines eradiquer.

Tainá Carrillez - simple soldat de l'empereur...



...enfance bafouée...

...Tainá tenait fermement la main de sa mere seul espoir pour elle dans les bas fonds ou elles évoluaient depuis maintenant pres de 7 ans, elle etait née ici, dans un bidon ville bordant la Ruche Perseus sur Mordian Prime. Sa mere n'avait eu d'autre solution que d'emprunter le puits et s'enfoncer avec sa fille de 18 mois dans l'obscurité.

L'essaim Genestealer qui était à l'epoque aux portes de la Spire de Radnar apres avoir fait un carnage dans les sous mondes de la Ruche était sur le point d'en finir et se retourner rapidement vers les trop proches bidons villes de Perseus. L'essaim ravageur avait été repoussé glorieusement par le Septième Regiment de la Garde Impériale, elles etaient finalement restées sous terre, partageant le quotidien des milliards d'habitants des sous mondes ancrés dans des conditions de survie que seule la necessité dictait.

Le reglement de compte entre les deux gangs venait d'éclater en pleine rue alors que mere et fille traversaient la Zone 128D, les rafales partaient en tout sens, les balles fusaient et venaient s'echouer tant sur la population presente que sur les batisses delabrées. Tainá se laissait entrainer par sa mere qui cherchait un refuge au milieu de la fusillade, des hommes et des femmes s'écroulaient baignant rapidement dans leur sang. La pression de sa main dans celle de Tainá se faisait brusquement plus faible jusqu'a lacher prise, sa mere s'écroulait alors qu'elle recevait une giglée de sang. Le regard figé sur elle, Tainá s'écroulait à sa suite la cuisse perforée par une balle.

Le détachement d'Arbites faisait son entrée distillant rafales sur rafales, nettoyant allègrement les foyers de tirs. La Zone 128D retrouvait son calme alors que les Arbites terminaient leur travail. Tainá écroulée et blessée sur le cadavre fumant de sa mere fut placée dans un refuge de l'Ordre Hospitalier d'Arana, les soeurs vouées à la protection de la vie allaient integrer la fillette dans l'orphelinat...


...putain d'adolescence...

...la vie s'ecoulait au rythme imposé par l'Ordre Hospitalier depuis maintenant plus de sept ans, la petite fille bléssée était devenue une adolescente, errant entre rigueur et cette rébellion qui grandissait en elle. Les soeurs hospitalières inculquaient leur foi et leur discipline de vie à un groupuscule de paumés qui grandissait chaque jour, Tainá en faisait partie, malmenée au beau milieu d'un groupe qui dès les soeurs hors de vue se comportaient comme des batards de Nécromunda, la loi des bas fonds se substituait à la rigueur des sororitas, elle n'avait jamais vraiment compté le nombre de coups et de roustes qu'elle prenait tant par les soeurs que par les fumiers qui partagaient desormais son existance, mais une chose était sure, l'endurcissement que lui procurait cette vie ne faisait qu'augmenter.

Elle passait bien vite de la chétive orpheline à la furie solitaire. L'endoctrinement des soeurs la marquait tout autant que le combat journalier qu'elle menait dans la meute, s'accordant régulièrement des fugues malgré les réprimandes physiques qu'elle récoltait lorsque ses promenades nocturnes étaient decouvertes. Une partie du Sous monde de la Ruche Perseus lui était désormais familiere, elle y apprenait chaque nuit tout autant que les journées à l'orphelinat.

Le femme prenait le dessus de l'adolescente alors que l'année de son dix septieme anniversaire la délegation impériale envoyait le detachement qui devait ramener le pourcentage annuel de futurs soldats. Elle etait du voyage, emmenée avec le groupe recruté dans la Citée Interdite de Mordian Prime, enclave militaire qui devait faire d'elle un soldat digne de mourir pour l'Empereur sur un champ de bataille. Un an tout au plus apres etre entrée de force dans le monde des armées elle se retrouvait incorporée dans le Septième Regiment de la Garde Imperiale en partance pour Bray, ou un conflit pour le contrôle de la planete contre la Waagh de Braack le Carnassier durait depuis maintenant deux ans...


...marée verte...

...prés de deux ans passés sur cette foutue Bray, bordel, jamais les peaux vertes n'avaient été aussi insistantes, putain de guerre sur une saleté d'planete....Tainá en avait bavée pendant pres de quatres mois pour prendre le rythme, elle etait passée du rang de bleusaille bonne à bouffer des balles en première ligne à celui plus discutable de galapiat, indisciplinée cherchant à conserver sa vie, creuver à 18 ans ca donnait pas trop envie, même pour l'Empereur, elle préferait le servir le plus longtemps possible en laissant les tirs mortels aux autres qui demandaient que ca au milieu de ces charniers. Elle avait appris a aimer voir les verts brailler sous ses coups d'allumeur, ce qui etait bien avec le fuseur c'est qu'un fois le coup au but, à condition d'être assez proche, ca laissait aucune chance...elle avait pas compté les peaux vertes qui s'etaient retrouvées au tapis sous ses tirs, ni les bastos qu'elle s'etait mangée en retour d'ailleurs, tout le monde s'en foutait de toute facon et elle aussi......Elle regardait souvent le Commissaire plus qu'elle l'écoutait, ce putain d'bourreau les lancaient sur le front pour l'Empereur, ils etaient la pour ca mais quand même, le Septième Régiment accusait d'énormes pertes, elle savait maintenant pourquoi les compagnies impériales comportaient tant d'effectifs......l'année de ses 20 ans elle s'était retrouvée bloquée avec sa compagnie au beau milieu d'une chienne de verdure, les tirs imprecis des flingboyz balancaient un boucan du diable, pas moyen de se depetrer, quelques heures apres la compagnie était sous un feu nourrit, les gardes tombaient mais répliquaient comme des fauves, c'est comme ca qu'elle avait rencontré des types comme Harton, Frost et les autres, survivre dans ce genre de situation elle pouvait pas le faire seule, et c'etait con a dire mais il avait fallu qu'elle se retrouve dans une tuerie de deux ans pour se rendre compte que seule elle valait rien.....ce qui restait de leur compagnie etait renvoyée sur Mordian Prime suite a ses deux ans, certains avaient choisi de rester dans c'tenfer, elle s'etait vue accordée un permission qu'elle esperait plus , quelques mois de repos et de formation à Perseus, putain enfin elle quittait cette merde de Bray qui venait de faire d'elle un soldat de l'Empereur...





PS: Petit ménage de fait dans le topic pour ne laisser que les textes des participants.

La date de cloture est le 21 Juin comme l'a dit Folken.