le ik c'est que sa ressemble UN PEU un tout ptit peu a une histoire que j'ai lu si ils sont mauvais joueur ils peuvent dire que je plagie.
CHAPITRE 1:
Le chemin traversait la Grande Foret de part en part.C'était une ligne droite, bordée d'épais taillis et de buissons touffus, qui menait au village de Laim'Enh, a une dizaine de lieues. D'autre route conduissaient elles aussi a cette croisée des chemins. Pour les habitant des comtés séparés par cette foret elfique, c'était le seul moyen de se rejoindre. Les marchand, les voyageurs, tous étaient contraints de traverser cet océan de verdure. La Grande Foret était apparue, selon les légendes, bien avant les hommes. Des arbres majestueux au formidable feuillage se dressaient en son sein comme autant de géant tranquilles. Immenses et éternellement verts, ils semblaient refermer leurs branches dans les hauteurs pour ne laisser qu'un étroit passage au sol. On entrait dans cette foret comme a l'interieur d'un tunnel, et nul n'aurait su dire si les arbres protégaient les visiteurs ou s'ils les menacaient...
Deux voyageurs avancaient avec difficulté sur le chemin. La saison était rude, la puie avait changé la route en un chemin boueux. Envellopés dans de lond manteaux, ils avaient rabattu leurs capuches sous leur yeux, de sorte qu'on ne pouvaient distinguer les traits de leur visages. Il peinaient, progressaient tete basse, expirant a chaque pas de petit nuage de buée.
Artruch replia sa lonque lunette avec mépris:
-Pouah! Encore des égarés! Nous n'en ferons qu'une bouchée...
Il scruta l'ombre de son repaire: ses geuriers étaient la, attendant ses ordres. Artruch les dévisagea un a un. C'étaient des orcs, comme lui. Des humanoides de grande taille a la peaux vert sombre, une musculature impresionantes et leur longues machoires laissaient entrevoir deux rangées de crocs. Arturch sourit, et passa sur ses lèvres une langue gourmande.
-Préparons-nous, dit-il. Il y a peu a prendre, mais cela nous fera un petit entrainement.
Avec des cris de joie les orcs s'emparèrent de leur armures de cuir et bouclérent leur harnais. Ils étaient armés de glaive court et de dague, dont ils usaient avec une remarquable abilité.Ils furent bientot préts, et Artruch, brandissant sa faue, donna le signal de l'embuscade.
La troupe jaillit de son antre et prit place de part et d'autre de la route. Les orcs agissaient en silence. Ils avaient maintes fois répété ces gestes: Artruch régnaient depuis lomgtemp déja sur l'endroit. Il ranconnait, dépouillait les malheureux voyageurs. Malin mais tériblement lache, il se gardait bien de s'attaquer a trop forte partie: ainsi les marchands les plus riches et les convois important était a l'abris de sa convoitise. Les escortes de mercenaires qui assuraient la sécurité des caravanes imposaient le respect aux orcs. Artruch se contentait de s'en prendre a des groupes de moindre importance et a des voyageurs isolés.
Le chef orcs ricana. Ces deux la étaient des proies parfaites! La bas, les voyageurs inconscient de la menace, poursuivaient paisiblement leur route, ils seraient bientot dans la geule du loup.
Quand ils ne furent plus qu'a une dizaine de pas, Artruch brandit sa faue et bondit sur le chemin. Ses geurier l'imiterent aussitot et encerclerent les deux malheureux en poussant de farouche cris de geurre.
-Hola! rugit Artruch. Vous etes sur mon terrtoire, étrangers!
Les deux vagabonds resterent impassibles. Ils se redrésérent lentement. Le premier était mince et élancé. Son compagnon était beaucoup plus petit et trapu. Une lonque barbe rousse débordait de sa capuche. Il en lissa les méches rebelles, puis fit un pas en avant et leva la main en signe d'apaisement:
-salut a toi.Pardonne notre intrusion.Nous ne savions pas que ces terres t'appartenaient...
Artruch ignora l'ironie, et lui coupa la parole d'un rire cruel:
-Vous le savez a present! Ma loi es simple, et applicble immédiatement: pour passez ilvous faut payer.
Le vagabond barbu releva son capuchon, dévoilant un visage ferme, encadré de cheveux nattés et retenus en une épaisse queue-de-cheval. Ses yeux sombres plongérent dans ceux d'Artruch:
-Je suis silmadin le nain, et voici mon compagnon, Aren.Nous ne cherchons pas les ennuis...
-Un nain!J'vais bien reconnu l'odeur...
Il cracha avant de poursuivre:
-Je hais les nains! Toi, tu devra payer triple!
-Nous ne somme que de pauvre voyageur.Dit il sous le ton de la defiance
-vous avez surement quelque piece d'or ou d'argent.dit l'orc en carresant son arme.
le nain secouat la tete
-Ni or ni argent, hélas!Nos bourses son bien maigre.
Il fit mine de reflechir et dit a son compagnon en se retournant vers lui:
-peut etre avons-nous mieux a lui proposer?
Le second resta silencieux et hocha la tete.
Artruch n'y tenait plus et dit vivement:
-Oui?Dequoi parlez vous?
Soudain, silmadin fit volte face. D'un mouvement rapide il dégaina une hache de geurre:
-De l'acier! Hurla t'il. Celui avec lequel on paie les orc!
Silmadin serrait fermement le manche de son arme. Il pivotait sur lui meme, balayant l'espace circulaire. Artruch n'eut que le temp de bondir en arrière. La lourde lame du nain le frola, lacerant son armure de cuir. Artruch libera une vague de juron.
Surpris, les orcs balancaient la tete, incapable de prendre une décision. Ils attendaient les ordres de leur chef, mais ce-ci tardaient a venir...
-Aren!Derriére moi! Tonna silmadin.
Son compagnon vient aussitot se placer dos a dos avec le nain. Rompus aux technique de combat rapproché, les deux voyageurs agisaient en parfaite armonie. Silmadin protégait son compagnon, moulinant sans relache pour tenir en respect ses adversaires.
Sans perdre un instant, Aren entama une curieuse pantonime : ses mains dansaient comme pour attraper des courants invisibles et en composer de savant bouquets.
Les orcs s'étaint ressaisis. Brandissant leur glaives, ils se jetterent a l'assaut. Silmadin parait la puie de coup comme un beau diable, et montrait les dent comme un loup enragé.
Sa hache trouva la faille dans la garde de deux de ses adversaires, qui s'effondrent sans une plainte
Ils étaient encore une dizaine a tourné autour des voyageurs. Silmadin siffla entre ses dents:
-Par la malemort! En a tu encore pour longtemp?
Aren n'était plus en mesure de repondre. Les yeux revulsés, il laissa fusé un refrain lancinant, a mi-chemin entre plainte douloureuse et chent de geurre. Il trembla de tout son etre et rejetta la tete en arriere. Dans le meme mouvement, sa capuche glissa sur ses epaules, revelant son visage affiné, sa peau laiteuse...
-Un elfe! glapit Artruch. Au abris! Térrifié a l'idée de l'affronter.
L'avertisement arrivait trop tard. Aren tandis les mains les doigts écartés. Des traits de feu jaillirent de leur extremittés avec un chuintement rageur. Ils tourbilonérentau-dessus du groupe de combatants, comme pour mieux déterminer leurs cibles, puis fondirent sur les orcs. Chaque projectile incandescant les attegnit au visage.
Les monstres hurlèrent de douleur. Certains s'écroulèrent, d'autres, aveuglés, abandonérent leur armes pour s'enfuir. Artrush considera une seconde la scène, les yeux équarquillés:
-Un magicien elfe!
Il écumait de rage, mais se savait incapable de vaincre.Il plongea dans les buisons en donant le signal de la retraite.
-Nous nous retrourevons! gronda t'il avant de s'enfuir.
En un istant, les orcs disparurent, abandonant les cadavres de cinq des leurs sur le sol boueux du chemin.
-Revenez! leur cria Silmadin.Lache ma hache a encore faim!
Il leur adressa un chapelet de jurons. Il interompit ses moqueries, car, dans son dos Aren avait mis un genou a terre.
Le nain planta sa hache dans un des cadavre en crachent dessus et se porta au secour de son compagnon.
L'elfe eut un geste d'impuissance:
-Pardonne ma faiblesse, l'ami. J'ai grand besoin de repos...
Silmadin n'ignorait pas quelle formidable énergie était nécessaire pour lancer des sortilèges. Il sourit en déssignant les cadavres qui jonchaient la route:
-Ta faiblesse? Tu as couché trois d'entre eux! Bien des geurrier aimerait s'enorguellir d'un tel tableau de chasse!
Aren s'appuya sur l'épaule de son compagnon et se redressa péniblement.
-Encore une fois, maugréa t'il nous avons combattu! On pouvait peut etre parlementer...
Silmadin tourna vers lui un visage empourpré:
-Quoi? C'était des orcs!
L'elfe émit un long soupir:
-Je suis fatigué de ces combats. Je n'aspire qu'a me reposer.
Silmadin lui jetta un regard moqueur:
-Tu veux que je te dise mon amis?Tu vieillis!
Aren grimaca, dépité. Vieillir... Silmadin ne mesurait pas cses paroles. Les elfes ne vieillisaient pas, ils étaien immortels. Apparus avant les hommes, ils demeureraient sur cette terre bien après eux. Le temp n'avait aucune emprise sur eux. Meme les nains, qui vivaient quelque centaine d'années, étaient trop éphémere pour qu'on leur accordat de l'importance. Aussi les elfes s'étaint-ils toujours tenus en retrait, évitant de sympathiser avec les autre peuples. Comparer aux siens, Aren faisait figure d'original. Il avait souvent cotoyé des nains, et quelque humains. L'un après l'autre, l'age les avait emportés, laissant le mage elfe sur le bord du chemin. Aren vivait cela comme une malédiction. Il était condamné a voir ses compagnons partir, un a un. Et Silmadin serait probablement le prochain.
Sentant les larmes lui couler au joues, l'elfe secoua la tete pour chasser ces pensées funeste:
-Avons nous envore un long chemin a parcourir
-Non si mes renseignement son bon nous ne sommes plus qu'a quelque heure du village de Laim'Enh. Repose toi, tu la bien mérité. Je veillerai.
Aren se laissa glissé contre un arbre plusieur fois centenaireet s'y adossa.Il se sentait bien au coeur de cette foret, qu' autrefois les sien avait habité il y a bien longtemp,hélas.Il leva vers le nain un visage fatigué, les cerne marquan ces yeux bleu:
-merci mon amis je n'aurait pu marcher plus longtemp.
Ils ne reprirent la route que deux heure plus tard. Aren peinait encore, mais il se refusait a passer la nuit sur le route: une contre attque des orcs n'était pas exclue. Ils avaient parcourut une centaine de metre qu'en Silmadin se ravissa:
-Malemort j'ai oublié!
Aren le vit rebrousser chemin, se pencher sur les depouilles des monstre et s'activer un moment avant de le rejoindre.
-Voila , fit le nain avec un air satisfait, la tradition c'est la tradition.
Aren se contenta d'aquiésser mollement de la tete. Il ne comprenait pas la fascination éprouver par le geurrier nain pour les trophés morbide...
Silmadin, chaque fois qu'il rencontrait un monstre en combat, conservait une griffe ou un croc de son adversaire.
Ils atteignirent le village de Laim'Enh peu avant la nuit. C'était une vaste clairiére, un trou de lumiére qui s'ouvrait au millieu de la grande foret. Apercevant le village, Silmadin porta la main en visiére devant ses yeux éblouis.
Depuis des jours, ils marchaient dans la penombre, et d'un coup le soleil les eblouissaient.
-Nous y voila,s'écria le nain.Nous allons pouvoir passez une nuit au chaud!
Sans un mot, Aren rabattit sa capuche pour dissimuler son visage.
Accueil
, alors les participants !
