Avant tout il faut savoir qu'il n y a pas de "technique" à proprement parler ...
Cependant on peut discerner les grandes principes :
La théorie d'un bon dégradé :
La peinture acrylique à la particularité de sécher très vite. Les transpositions ombres-lumières ne sont font pas par fondu des couleurs comme pour la peinture à l'huile, mais avec des superpositions de très fine couches de peinture. Il faut donc jouer avec sa transparence, sa fluidité, son pouvoir couvrant ...
Un bon dégradé s'obtient grâce à un nombre de passages importants de couche diluées. Plus on dilue, plus on superpose les "filtres", plus on "gomme" les imperferfections de la couche précédente, plus le dégradé sera fin.
Le Lavis, ou l'art de traivailler la transparence ...
On utilise lme fait que la peinture diluée laisse apparaître la couche inférieure par transparence ( 1 volume de peinture pour 5 à 6 d'eau ).
Il n' y a pas de secret, il faut multiplier les couches diluées, les appliquer comme des filtres, en coloriant la couche inférieure comme le ferait un peintre à l' aquarelle. On teinte alors la couche de base par une succession de passages. L'eau en s'évaporant déposera alors majoritairement la couleur dans les creux. Cette technique est ainsi plus appropriée pour foncer qu'éclaircir.
Les encres, ou l'art de donner de la profondeur aux couleurs
Comme énoncé précédement l'essentiel du travail de dégradé à la peinture acrylique est un jeu avec les pigments et le pouvoir couvrant des couleurs. On en vient donc naturellement à travailler les encres, qui n'ont pas leurs pareil concernant leur degré d'opacité. Une mauvaise utilisation de cette peinture engendre la création d'auréoles inesthétiques, résultat du dépôt de pigent lors du séchage. Pour éviter ces désagréments, il ne faut pas inonder de jus la figurine, bien localiser le jus, ajouter éventuellement du médium pour unifier les pigments en suspension dans l'eau et surtout mélanger constamment l'encre à de l'acrylique.
Après dilution, il faut bien évidament veiller à ne pas déposer de goutelettes de peinture, mais une fine épaisseur régulière.
Cependant on peut discerner les grandes principes :
La théorie d'un bon dégradé :
La peinture acrylique à la particularité de sécher très vite. Les transpositions ombres-lumières ne sont font pas par fondu des couleurs comme pour la peinture à l'huile, mais avec des superpositions de très fine couches de peinture. Il faut donc jouer avec sa transparence, sa fluidité, son pouvoir couvrant ...
Un bon dégradé s'obtient grâce à un nombre de passages importants de couche diluées. Plus on dilue, plus on superpose les "filtres", plus on "gomme" les imperferfections de la couche précédente, plus le dégradé sera fin.
Le Lavis, ou l'art de traivailler la transparence ...
On utilise lme fait que la peinture diluée laisse apparaître la couche inférieure par transparence ( 1 volume de peinture pour 5 à 6 d'eau ).
Il n' y a pas de secret, il faut multiplier les couches diluées, les appliquer comme des filtres, en coloriant la couche inférieure comme le ferait un peintre à l' aquarelle. On teinte alors la couche de base par une succession de passages. L'eau en s'évaporant déposera alors majoritairement la couleur dans les creux. Cette technique est ainsi plus appropriée pour foncer qu'éclaircir.
Les encres, ou l'art de donner de la profondeur aux couleurs
Comme énoncé précédement l'essentiel du travail de dégradé à la peinture acrylique est un jeu avec les pigments et le pouvoir couvrant des couleurs. On en vient donc naturellement à travailler les encres, qui n'ont pas leurs pareil concernant leur degré d'opacité. Une mauvaise utilisation de cette peinture engendre la création d'auréoles inesthétiques, résultat du dépôt de pigent lors du séchage. Pour éviter ces désagréments, il ne faut pas inonder de jus la figurine, bien localiser le jus, ajouter éventuellement du médium pour unifier les pigments en suspension dans l'eau et surtout mélanger constamment l'encre à de l'acrylique.
Après dilution, il faut bien évidament veiller à ne pas déposer de goutelettes de peinture, mais une fine épaisseur régulière.